Nous sommes au lendemain du premier tour des élections régionales, qui démontrent de manière éclatante que près de 75 % (et non pas 60 comme le prétendent les radoteurs professionnels, qui s’obstinent à ne pas prendre en compte les non-inscrits) se moquent complètement de savoir comment les oligarques oppresseurs se partagent les sinécures.
Ils s’en moquent, tout comme moi, et donc parlons d’autre chose.
En effet, la seule vraie question n’est pas qui gagne le loto prétendument électoral, mais comment se débarrasser de tous ces coûteux inutiles.
Mais pour en arriver là, il faudra, tôt ou tard, commencer par le commencement. Et le commencement est la révolution de notre appareil judiciaire.
Le Professeur Raoult se dit persuadé que la vérité finit toujours par s’imposer. Je ne sais pas d’où il peut tirer cette certitude : c’est presque toujours le contraire qui s’observe et l’Histoire est surtout un énorme mensonge construit sur les cendres de la vérité.
La pandémie est la grande manipulation des temps modernes, mais la croyance en la pandémie est une Religion : peu importent les évidences (nombre réel de décédés, inutilité, inanité et perniciosité des politiques liberticides occidentales), ses adeptes ne la remettront jamais en question.
L’affirmation : « Il n’y a pas de traitement ! » est une falsification. Mais c’est ce que vont continuer de croire et de répéter les adeptes de la pandémie. Et les traitements vont continuer de rester interdits !
Pasteur doit faire des sauts dans sa tombe, s’il sait qu’ils ont l’impudence d’appeler « vaccins » les produits qu’on injecte, au sens propre, à tour de bras, qui pourtant, bons ou mauvais, sont tout ce qu’on voudra, sauf des vaccins : il n’importe ! Au Moyen-âge, les croyants décapitaient les hérétiques et brûlaient les « sorcières » ou prétendument telles. Aujourd’hui, les croyants ne se contentent pas de se faire piquer eux-mêmes, ils font piquer sans hésitation leurs vieux parents comme leurs enfants, même les plus jeunes !
Sourds aux plaintes de ceux que les vaccins ont rendus malades, aveugles au spectacle de ceux qui sont morts, sans souci de ceux qui pourraient bien mourir demain. Et vouant aux gémonies quiconque émet et semble émettre le moindre doute à propos de la sainte religion vaccinale.
Le Professeur croit en la vérité, il croit aussi en la Justice. Il a, semble-t-il, déposé plainte contre plusieurs de ses détracteurs. Bon vent ! La preuve est apportée que le bon Professeur n’est jamais sorti de son hôpital et de ses chères études. Car nous sommes nombreux sur ce site, pour l’avoir éprouvé à nos dépens, à savoir qu’il n’y a pas grand-chose à attendre de la justice, sinon souvent le pire, et que tout ce que son action risque de faire gagner au Professeur est une inscription définitive sur un certain mur, qui pour s’être fait plus discret, n’en est pas moins toujours bien réel…
Il y a des années de cela, portant un foulard bleu, entouré de manifestants portant un foulard bleu, j’écoutais, sous la pluie, un orateur, arborant un foulard bleu, un certain Monsieur Reichman, un homme pour lequel j’ai toujours éprouvé une grande admiration. Monsieur Reichman a fini son discours, je m’en souviens comme si c’était hier, et d’ailleurs c’était hier, en invoquant la dissolution immédiate et définitive de l’ensemble de notre appareil judiciaire et son remplacement par des hommes débarrassés de toute idéologie et seulement soucieux d’accomplir et respecter la volonté du peuple.
Et c’est bien vrai que pour bien faire les choses, il faut commencer par leur commencement !
Bon ! Faisons malgré tout le pari du « bon juge », souhaitons tout de même bonne chance au Professeur Raoult !
Bormes les mimosas, 20 juin 2021
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