Vous préférez écouter ? C’est Ici !
Coucou… je revoilà !
Il est mort, tant mieux ont pensé les uns, il est mort, tant pis ont déploré d’autres.
Pas mort, mais pas vraiment vivant non plus ; le Barniérisme n’arrive pas à m’inspirer. Mais bon !

Décidément, monsieur Macron interpelle les psychiatres. Il n’était pas installé dans ses nouveaux appartements élyséens qu’un auguste spécialiste, Italien de surcroît, le déclarait ni plus ni moins que… psychopathe !

Et depuis, d’autres avis d’experts « autorisés » se sont régulièrement succédé, le dernier en date (à ma connaissance), sous forme d’un livre : « La pensée perverse au pouvoir », de Marc Joly, qui, après six années de travail, nous découvre un « pervers narcissique ».
Psychopathe ou pervers narcissique, la différence n’est pas extrême, c’est le moins que l’on puisse dire. Mais est-ce essentiel ?
Le psychopathe, tout comme le pervers narcissique ont tous les deux un même problème, un déficit de leur potentiel empathique, c’est-à-dire la capacité de ressentir ce que ressent autrui, et donc de partager les émotions de cet autrui. Maladie, contrariété, chagrin, un individu montre qu’il souffre. La maladie, la contrariété ou le chagrin ne nous concernent en rien, et nous n’avons aucune raison de souffrir. Et pourtant, le spectacle d’une personne qui souffre nous conduit à éprouver, à partager les mêmes sentiments que cette personne.
Tous les animaux sociaux fonctionnent comme cela, à l’exception notable et relativement rare des psychopathes et des pervers narcissiques. On parle de « sociopathie ».
Politiques, hauts fonctionnaires, le discours est unanime, l’état manque d’argent, il faut économiser. Les idées d’économie fusent comme des feux d’artifice ; diminuer les retraites, augmenter le temps de travail, réduire les dépenses de santé, le nombre de professeurs… Réduire les salaires des politiques, des hauts fonctionnaires ? Non, non, on est à l’os, pas possible, rien à gratter.

Ils avaient même prévu de… s’augmenter ! Mais finalement, non, les augmentations, ils y ont renoncé. Enfin pour le moment. Mais une diminution ? Pas question, pas possible.
Tant de pauvres, de bas revenus vont souffrir, beaucoup souffrir. Les riches donnent aux pauvres parce qu’ils souffrent la souffrance des pauvres. Tous les riches, à l’exception des riches sociopathes.
Concluez ce que vous voulez, mais souffrez encore une remarque. Par définition, un homme d’état est un homme de pouvoir. Un homme de pouvoir peut-il être un homme d’empathie ? C’est-à-dire se mettre à la place des hommes sur lesquels s’exerce son pouvoir ? Bien sûr que non, il cesserait à l’instant d’être un homme de pouvoir.
Tôt ou tard, les hommes d’état finissent par décevoir. La solution : remplacer l’homme d’état par un autre homme d’état ? Ce ne sont pas les hommes qui font les états, mais les états qui font les hommes d’état. Ce ne sont pas les hommes qu’il faut changer, ce sont les états. Et cela, c’est vrai, est une affaire d’une autre dimension.
A bientôt !
Vous auriez préféré écouter : c’est ici !
Cher Monsieur GEORGEL (à qui je souhaite par avance une bonne année 2025) :
Il est ahurissant de voir le Président prêcher, « en majesté et en gloire », à Notre-Dame-de-Paris, surtout quand on sait
que le Macronisme originel (celui de la campagne de 2017)
a été lancé et conçu par une agence publicitaire
(spécialisée dans la promotion des produits ALIMENTAIRES)
et que la raison sociale de cette agence
(délibérément parodique et sacrilège, à en croire ses fondateurs)
est : « Jésus et Gabriel » !
« Jésus » faisant ici référence à un saucisson et, bien avant la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques, à ce dernier « repas » que fut la Cène, donc, selon les propres mots d’un des deux dirigeants, à… »LA BOUFFE » !!! ;
« Gabriel » étant justement le prénom de l’un de ces deux fondateurs, M. Gaultier- l’autre associé se nommant Adrien Taquet, ex-membre du gouvernement.
Tapez, à titre de curiosité, dans le moteur Google (rubrique : « Images ») les termes suivants :
agence brand and content cathédrale américaine
et dans la liste des résultats proposés, cliquez
sur les photos sous-titrées :
« Dîner de l’Agence Jésus et Gabriel ».
Vous trouverez alors, réunis en un seul portfolio, les plus HORRIBLES
clichés, réalisés en la Cathédrale Américaine de Paris, lors d’un
banquet ouvertement blasphématoire (avec fausses hosties et tout
un décorum démoniaque ou anticlérical nettement assumé).
Et, raffinement suprême, cette entreprise « délirante » (qui compte parmi sa clientèle le journal communiste… « L’Humanité » ! et se dit : « Jésus, sauveur de l’Humanité ! ») édite également un « Jésus Magazine », qui s’est ouvertement moqué de la défunte reine d’Angleterre et de Donald Trump, tous deux HYPOCRITEMENT salués et célébrés ensuite par…Emmanuel MACRON lui-même).
René Guénon (correspondant de Gaston GEORGEL) avait vu juste :
les temps de la fin verront triompher le Satanisme,
ou ce qu’il appelait : la « Contre-Initiation Séthienne ».
1-Le dieu égyptien Seth (ou Typhon) possédant une tête d’âne ;
2-la « fête de l’âne » ou « fête des fous » étant, au Moyen Age, un carnaval ou sabbat organisé dans certaines églises, avec habits sacerdotaux portés en guise de déguisements;
3-et, pour finir, le parti démocrate américain (cette gauche étrangère, si proche de Macron) n’a-t-il pas un âne pour « mascotte » (par opposition à l’éléphant des Républicains-pachyderme que René Guénon rattachait dans tous ses livres… à l’autorité spirituelle hindoue) ?
C.Q.F.D. !!! TOUT SE TIENT DANS L’INVISIBLE ! EN VOUS SALUANT !
Bravo pour ces références.
À mon goût de vous souhaiter une bonne année. Amitiès.