Ceux qui me connaissent, qu’ils m’aiment un peu ou me détestent beaucoup, pourront en témoigner : je n’ai jamais cru, même pas une seule seconde, à la légende de la pandémie. Dès le début, absolument seul contre tous, ce tous incluant tous mes proches, famille, amis…
Mais pourquoi ai-je été complètement persuadé, dès les premiers instants, qu’il s’agissait d’une monstrueuse manipulation ? Intuition, instinct, autre chose ? Figurez-vous que je viens seulement de découvrir la réponse à cette question. Et certains pourront trouver intéressant que je livre ma découverte.
En fait, je n’y suis pour rien, et je n’y ai aucun mérite. Pour des raisons professionnelles, j’ai passé une partie de ma vie à étudier ce qu’il est convenu d’appeler le « comportement ». Le comportement animal, bien sûr, à condition d’admettre que l’humain n’est finalement qu’un animal comme les autres.
J’ai même fini par pondre un ouvrage sur ce sujet, dont la modeste ambition est d’être une synthèse des manières parfois complémentaires, mais le plus souvent parfaitement opposées, d’aborder ce sujet, ouvrage dont je ne puis que recommander la passionnante lecture… Mais si, mais si…
Passons. Ces recherches m’ont conduit à étudier ce dernier avatar du comportementalisme, désigné généralement par « économie comportementale », une étude des techniques permettant de manipuler l’opinion publique pour conduire les peuples à adopter d’eux-mêmes des comportements souhaités par une oligarchie parfaitement cynique. Les « spécialistes » de ces techniques ne se contentent pas de décrire leurs « découvertes » dans des ouvrages somme toute assez peu lus, et donc très peu rémunérateurs, ils proposent leurs « services » aux dirigeants de la planète, ce qui est, d’évidence, nettement plus rentable. Et savez-vous de toutes les méthodes suggérées, laquelle est décrite comme la plus sûre et la plus efficace : la peur ! Terreur populaire, sinécure oligarque !
Bien sûr, me direz-vous, la gouvernance par la terreur est aussi ancienne que l’humanité, ou au moins, que l’apparition des religions. Mais aujourd’hui, les religions ne faisant plus recette, il fallait passer à autre chose. La terreur climatique, ça marche plutôt bien, cela permet de magnifiques escroqueries comme les éoliennes ou les voitures électriques, mais bon, le climat s’obstinant à se réchauffer beaucoup moins vite que partout claironné, cela finit par refroidir nombre d’enthousiasmes. La terreur sanitaire, nettement mieux, bien plus efficace, une invention de génie. Un problème sanitaire, bien entendu, je ne revendique aucune compétence pour en juger la réalité. En revanche, les méthodes et les techniques de l’économie comportementale, dès les premiers instants, je les ai immédiatement reconnus et identifiés, sûr de ne pas me tromper. Ce qui m’a fait, dans le même temps, fortement douter de la gravité annoncée de la situation : si celle-ci était ce qu’on voulait nous faire croire, quel besoin d’utiliser pour convaincre, les plus grosses ficelles de la manipulation de masse ?
Des exemples ? Un seul pour les résumer tous.
Nombre d’observateurs n’ont pas manqué de souligner les contradictions dans les directives successives. Et ont mis cela sur le compte de l’imprévoyance ou de l’incompétence. Pas du tout impossible, mais là n’est pas le fond de la question. Des instructions successives se contredisant le plus complètement possible sont un moyen certain et connu de sidération des esprits (animaux et donc aussi humains), le stress engendré rendant impossible une analyse objective de la situation. L’individu se soumet alors, sans réfléchir, aux ordres (fussent-ils débiles et contradictoires) reçus.
Après cela, étonnez-vous que ce choix de la terreur ait été celui de tant de dirigeants, de gouvernements !
Quand cessera ce cauchemar, demandent certains ? La réponse est malheureusement certaine : jamais ! Pourquoi ? Une raison très simple : les dictatures ne démissionnent pas. Pour s’en débarrasser, il faut les renverser. Le cauchemar ne cessera que lorsque les peuples comprendront qu’on leur a menti et qu’on les a manipulés.
Pour cela, nul besoin ni de fusils ni de sang : il suffit seulement qu’un beau jour, des citoyens en grand nombre décident en même temps de crier : « Maintenant, ça suffit ! », et joignant le geste à la parole, s’arrachent leurs masques, refusant toute forme de contraintes stupides, masques en extérieur, confinements, couvre-feu, obligations vaccinales…
Bien sûr, c’est une certitude, cela finira par se produire. Est-ce que j’aurai le bonheur de connaître ces jours heureux ? Beaucoup moins sûr.
Pourtant, ici, là, des indices redonnent un peu espoir. Ici, là, on jette les masques et on chante et danse. Une sorte de vent vivifiant de révolte est peut-être en train de se lever ?
Au point, en tout cas, de manifestement inquiéter certains manipulateurs, ou tout au moins leurs complices.
Par exemple, Florian Philippot vient de nous faire partager le plus incroyable, le plus extraordinaire des scoops ! Plus que des aveux, les remords et la honte affichée par des membres du « SPIB », l’équivalent britannique de notre « conseil scientifique », dans un article publié ce dernier 14 mai par le Daily Telagraph.
Le titre de l’article est très clair : « L’utilisation de la peur pour contrôler le comportement pendant la crise du Covid était totalitaire »
Ce groupe avait pourtant proposé en mars 2020 que les ministres britanniques fassent en sorte d’augmenter le niveau de ressenti de menace pour chacun. Ils ont dit : Faites en sorte que les gens soient de plus en plus terrifiés pour se sentir de plus en plus menacés.
Gavin Morgan, un psychologue de l’équipe déclare : « Clairement, utiliser la peur comme moyen de contrôle n’est pas éthique, ça sent le totalitarisme. En mars 2020, le gouvernement était très préoccupé par la conformité et pensait que les gens ne voudraient pas être enfermés, il y a eu des discussions sur la nécessité de la peur pour encourager la conformité, et des décisions ont été prises sur la manière d’augmenter la peur. La façon dont nous avons utilisé la peur est dystopique. L’utilisation de la peur a été définitivement discutable sur le plan éthique.
Outre les avertissements manifestes sur le danger du virus, le gouvernement a nourri le public avec un régime continu de mauvaises nouvelles telles que le nombre de décès et d’hospitalisations, sans jamais remettre les chiffres en contexte, avec des informations par exemple sur le nombre de personnes guéries, ou si le nombre quotidien de morts est inférieur ou supérieur aux moyennes saisonnières. »
Un autre membre du SPIB a déclaré « avoir été stupéfié par la militarisation de la psychologie comportementale pendant la pandémie et que les psychologues n’ont pas semblé remaquer quand elle a cessé d’être altruiste et qu’elle est devenue manipulatrice. Ils ont trop de pouvoir, et cela les enivre. »
Steve Baker déclare : « S’il est vrai que l’état a pris la décision de terrifier le public pour qu’il se conforme aux règles, cela soulève des questions extrêmement sérieuses sur le type de société que nous voulons devenir. Si nous sommes vraiment honnêtes, est-ce que je crains que la politique gouvernementale d’aujourd’hui puise ses racines dans le totalitarisme, oui, bien sûr que c’est ça ! »
Le dicton populaire n’a jamais été aussi vrai : la peur est mauvaise conseillère ! N’ayez pas peur est-il répété dans les Saintes Écritures au moins autant de fois que l’on compte de jours dans une année. N’ayez pas peur, a redit l’un des derniers papes à mériter encore l’appellation de pape !
Qu’on se le dise : la fin de la terreur populaire, c’est la fin de la dictature sanitaire !
Pas d’autre solution.
Bromes les mimosas, mardi 18 mai 2021
Quelques sources :
- Un partout, des citoyens se révoltent : https://www.youtube.com/watch?v=ry6-BKB0bb0
- Martin Blachier rend compte de l’article traduit par Florian Philippot https://www.youtube.com/watch?v=_0D82032TT4 (les rats quittent le navire covid).
- Sur l’inutilité des masques : https://www.youtube.com/watch?v=H2nDunwrzU0: inutilité des masques
- Sur l’effet des vaccins : https://www.youtube.com/watch?v=UVmXvo1FMOc
- « Il nous reste au moins une liberté, celle de ne pas être dupe » : étude très complète de l’économie comportementale, et de ses méthodes, sur le site « C’est-à-dire ! » de votre serviteur. Ah mais non, j’oubliais, mon site « C’est-à-dire ! » s’est trouvé définitivement et brutalement rayé de la carte numérique, sans laisser aucune trace, cet article avec une dizaine d’autres sur le même sujet y compris… (cependant, j’ai les originaux de ces textes, qui je transmettrai volontiers à qui me le demanderait).
Cela dit, qui lit encore ? Si les gens lisaient, ne serait-ce qu’un peu, il y a déjà longtemps que le monde en aurait fini avec le cirque covid.
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