Ce qui va se produire dans les semaines qui viennent est bien intéressant.
Bien, sûr, nul ne peut garantir l’avenir, pas même le professeur Raoult, c’est du moins ce qu’il dit, mais partout dans le monde, la pandémie Covid semble marquer le pas (et cela quoiqu’en dise nos alarmistes professionnels).
Ce qui est intéressant, c’est ceci : comment les gouvernements occidentaux, qui ont tant usé et abusé de la terreur covidienne pour imposer leurs dictatures, comment vont-ils s’y prendre, si la pandémie disparaît, pour maintenir intacts leur pouvoir et la terreur ?
Faisons-leur confiance : guidés par les cabinets-conseils les plus chers et les plus pervers de ce monde, ils trouveront. Voyez pour le(s) vaccin(s). Les naïfs qui se sont précipités pour être les premiers à jouir du plaisir de l’aiguille ont partagé cette certitude : le vaccin, le passeport sans restriction pour le monde d’avant.
Seulement non ! Très vite, on leur a expliqué que le vaccin ne les protégeait peut-être pas tant que cela, et qu’en plus d’être vaccinés, il leur faudrait donc continuer de subir toutes les mesures en cours, pour eux, pour les autres…
Et puis, il y aura les variants, et les variants des variants, ou peut-être, juste à temps pour sauver nos dirigeants, un nouveau virus, tout neuf, encore plus féroce que l’ancien…
Avec ces questions à ce jour sans réponse : pourquoi est-ce dans les pays qui pratiquent la vaccination avec le plus de conviction que la pandémie recule le moins, ou même connaît une aggravation ?
Pas de problèmes, vous répondent les vaccinocroyants : les nouveaux atteints ne se recrutent pas du tout chez les personnes vaccinées. Ah bon. Ont été vaccinées en priorité les « personnes à risques », en fait, mes collègues, les hommes de mon âge. Et d’un autre côté, de consensus public, ne meurent réellement de la pandémie chinoise que les hommes… de mon âge ! Alors, les nouveaux morts, on les prend où ?
Un jour, un de mes proches m’a posé cette question : « Comment cette histoire finira-t-elle ? » Ma réponse : « Pas avant que les peuples ne se réveillent ! ». Mon interlocuteur, interloqué, m’a tourné le dos, sans commentaire.
Pourtant, c’est aujourd’hui l’évidence. Ce n’est pas l’éventuelle conclusion de la pandémie qui mettra fin aux actuelles dictatures sanitaires. C’est le réveil des peuples, s’il finit par se produire, et rien d’autre. Tout le reste est bavardage.
Mais si la pandémie, malgré tout, venait à disparaître, insistez-vous ! À mon humble avis, de fait, le pire est devant nous : une crise financière mondiale venant en quelques heures à bout de toutes les monnaies…
Nota : aux personnes qui me font l’amitié d’apprécier mes écritures, je me permets de signaler une de mes nouvelles, nouvelle précisément, trop longue pour un billet sur ce site, mais néanmoins sur le même sujet : http://michel-georgel.com/textes/2021/02/15/le-masque-ou-la-vie/
19 février 2021
0 commentaires