Comment expliquer que l’ensemble des dirigeants de nos pays occidentaux s’obstinent dans des directions à l’évidence contre-productives, absurdes et mortifères ?
Servent-ils seulement, comme le pensent beaucoup, les intérêts de l’industrie pharmaceutique, qui se révèle par ailleurs une source importante de leurs financements ?
Obéissent – ils aux souhaits des hommes de Davos, qui souhaitent très officiellement réduire de manière drastique le nombre de la population mondiale, par l’instauration (y compris par le moyen de la terreur sanitaire et/ou climatique) d’un gouvernement mondial, et l’effacement des identités nationales ? Le fait que les hommes de Davos parrainent très officiellement l’organisation des « Young Leaders », et qu’Emmanuel Macron, Olivier Véran, Édouard Philippe (et beaucoup d’autres, dont Nicolas Sarkozy) soient précisément des Youngs Leader a le droit d’interpeller, sans pour autant mériter à coup sûr l’accusation de « complotisme ».
L’un de mes fils me suggérait tantôt une autre piste : « Et si ces gens détenaient des informations plus ou moins effrayantes, dont nous ignorons tout ? »
Le professeur canadien Denis Rancourt, chercheur indépendant de l’Ontario Civil Liberties Association fait remarquer dans plusieurs articles et interviews que l’épidémie de virus chinois se distingue de toutes les autres épidémies comparables observées depuis la fin de la seconde guerre mondiale sur trois points au moins, trois points qui de fait interpellent. Vous pouvez lire ou écouter cela notamment à l’aide de liens in fine, mais comme c’est toujours un peu long, je vous en propose le présent résumé.
- Aucune épidémie comparable ne s’est jamais développée dans nos pays de la zone tempérée nord à cette saison. Toutes les autres épidémies se sont produites au cours de la saison froide.
- Aucune autre épidémie n’a connu une courbe de progression aussi brutale.
- Toutes les autres épidémies ont touché les pays d’une même zone d’une manière strictement uniforme. Ce qui n’est absolument pas le cas ici : des pays voisins, ou même des régions voisines d’un même pays ont connu des taux de contamination radicalement différents (pouvant aller des plus élevés aux plus faibles).
Pour le professeur, une seule explication : il n’y a tout simplement pas eu d’épidémie.
Alors de quoi les morts sont – ils morts, demandez – vous ? Toujours selon le professeur, des seules politiques pratiquées. En France, le confinement, la relégation des personnes âgées, l’interdiction de prescription, notamment de l’hydroxychloroquine…
Si l’on suit le professeur, la première vague, si elle est démontrée, ce n’était pas au printemps, c’est maintenant.
Est – ce cela que « savent » nos dirigeants ?
Peut – être. Pour autant, cela justifie – t– il les mesures qu’on nous impose ?
À cette dernière question, selon que l’on s’avance masqué ou qu’on préfère dire les choses sans masque, on répondra « Bien sûr, bien sûr ! » ou l’on haussera les épaules, avec plus ou moins de lassitude. Moi, je hausse les épaules, avec lassitude.
Quelques sources :
18 octobre 2020
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