/Opinions eclairées

6 novembre 2020

Ballade de la chloroquine

Je vais vous dire : je ne vois tout simplement personne parmi mes amis, mes proches ou même mes très proches qui semble être influencé, même de manière infinitésimale, par mes prises de position. Tout le monde admire le président, tout le monde se masque, tout le monde se confine, personne n’oppose le moindre doute, le moindre questionnement…

Décourageant ? Décourageant. Découragé ? Découragé. 

Foin des paroles, donc, juste une petite « ballade », dont chacun fera ce qu’il voudra, y compris d’en imaginer la musique. Ou la poubelle. Ce sera comme vous voudrez. 

Ballade de la chloroquine

Les spadassins tueurs en marche

Les sans pitié, hommes d’En Marche

Vrais assassins, mais faux marcheurs

La dictature des dictateurs

Ont interdit la chloroquine

Véran devant, mufle masqué

Vrai croque-mort empaqueté

Le peuple meurt anesthésié

Le peuple meurt à l’étouffée

Le peuple meurt sans chloroquine

Moi, rescapé du Corona

D’l’internement dans un ehpad

Des tripotages au fond du nez

À leur vaccin, j’veux échapper !

Vaut mieux mourir sans chloroquine

Confinement, couvre-feu, masques,

Tout ça, c’est pour la populace

Mais les planqués dans les palaces

Menant grand train, orgies et frasques

Ils ont tous eu leur chloroquine

Oui, la sorcière de l’Élysée

Museau fardé, museau masqué

Jupes levées, genoux au vent

Se moque bien de nous manants

Aura aussi sa chloroquine

Et non contents de nous priver

De traitement, pour nous aider

En guise de médicament

C’est le très grand confinement

Confinement sans chloroquine

Tant de naïfs d’imaginer

Le cauchemar se terminer

Mais les tyrans n’vont pas céder

Bien trop contents de tant régner

Ça durera sans chloroquine

Où es-tu donc ma liberté ?

La joie de vivre et de mourir

La liberté nous est volée

En suffoquant pour en finir

En suffoquant sans chloroquine

Le peuple doit se rebeller

Mais le peut-il emprisonné ?

Mais que peut-il, désespéré ?

Le peuple meurt, volé, ruiné

Le peuple meurt sans chloroquine

Dans les Ehpad les vieux sont morts

Liquidés au Rédemsivir

Pas de regrets pas de remords

Car Bigpharma doit s’enrichir

On interdit la chloroquine

Que sur les tombes, morts en errance

Le croque-mort vienne graver

En lettres d’or sans sourciller

La vérité : morts par la France

Car ils sont morts sans chloroquine !

Vlà les parol(es) de ma chanson

Sans prétention, votre attention

Pour la musique des couplets

Ce sera comme vous voudrez

Mais ce sera sans chloroquine

6 novembre 2020

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