Vous l’aurez noté, jamais les médias n’ont autant diffusé de messages au sujet du le climat. Habilement égrainées au fil des jours, les informations se succèdent, un long chapelet toujours plus inquiétant, plus affolant !
Hier, on a fait marcher les gens, un peu partout. Demain, l’ONU convoque les chefs d’État… pour parler de la lutte contre un réchauffement climatique catastrophique… qui n’existe plus depuis au moins vingt ans.
Et ça marche. Au figuré, au propre… Les gens marchent. On les fait payer et ça, ce n’est pas du tout du figuré : on s’enflamme pour d’inutiles et coûteux moulins à vent, pompeusement baptisés éoliennes, on fait tomber le monde dans le panneau, pompeusement qualifié de solaire, et tout cela coûte, coûte…
Les croyants, on les fera payer plus encore demain. Peut-être qu’à ce moment, ils finiront par comprendre. Mais ce sera sans doute trop tard. Pour eux, et malheureusement, pour nous aussi.
Parce qu’il faut avoir le courage de le dire, les climato–croyants communient dans ce qui ressemble de plus en plus à une forme d’autisme collectif.
Leur papesse, une gamine de seize ans qui fait beaucoup l’école buissonnière répète « il faut écouter la science ! » Elle a parfaitement raison. Il faut écouter la science.
Le problème est que c’est précisément ce qu’elle et ceux qui la soutiennent ne font pas !
Si elle avait été un peu plus à l’école, elle aurait appris que la règle numéro de toute démarche scientifique, c’est le doute !
Les certitudes, les affirmations péremptoires… rien à voir avec la science.
La science est l’affaire des scientifiques, et tout au contraire de ce qu’on nous récite sans arrêt, sur la question du climat, les scientifiques ne sont pas du tout unanimes, c’est même exactement le contraire. Et c’est normal.
Mieux, toujours au contraire de ce qu’ânonne le concert des médias, la majorité des scientifiques ne penche pas du tout du côté réchauffement.
Avec des gens qui doutent, le dialogue est possible. Arguments, observations, discutions…
Avec des « croyants », pas de dialogue possible. Ils ont la foi. Et la foi, en climat comme en religion, conduit à l’autisme.
Exemple : le CO2, c’est vilain, ça va tuer tout le monde.
Oui, oui, on observe au cours de la période passée une augmentation de la teneur en CO2. Mais rien ne montre que cette augmentation ait quoi que ce soit à voir avec une éventuelle augmentation de la température. Et surtout, ouf ! Cette augmentation a permis, par une sorte d’explosion de la production agricole, de faire à peu près face à l’augmentation de la population, évitant à l’humanité la plus féroce des famines.
Pourvu que le CO2, vexé de tout le mal injuste qu’on dit de lui, ne décide pas soudain de tourner les talons…
La vérité est que les gens qui tirent les ficelles de la terreur climatique sont les mêmes que ceux qui prônent la disparition des peuples et de leurs frontières, les mêmes qui œuvrent pour l’instauration d’un gouvernement mondial, au profit d’une minorité opulente, régnant sur des majorités misérables, toujours plus pressurées, et contrôlées par un système mondial de terreur fiscale.
Et pour cela, il faut le reconnaître, notre pays est plutôt en avance, et peut servir de modèle…
nota : on pourra lire une thèse similaire à la mienne ICI. Mais j’avais écris mon article avant de lire celui-ci.
22 septembre 2019
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