Depuis mon dernier article (Quand le monde s’est enrhumé !), j’ai découvert ceci : voilà qu’en plus d’être un vieux climatosceptique parfaitement indécrottable, je me découvre, et au moins tout autant, un véritable masquoseptique ! Bon ! Allez, après de pareilles tares, prétendre briller dans les salons, ou tout au moins vous faire accepter par la plupart des sociétés humaines !
Climatoseptique ? Hé oui ! J’aime trop les histoires de Viking pour oublier que certains d’entre eux ont cultivé du blé et même élevé des vaches sur les rivages du Groenland, il n’y a pas si longtemps que cela. Et tant d’autres anecdotes, que je m’épargne car elles ne sont pas mon sujet du jour.
Masquoseptique ? Il semble bien qu’il y ait encore aujourd’hui des personnes sensées à ne pas avoir compris cela : il y a le même rapport de taille entre une nanoparticule (les virus sont des nanoparticules) et les « mailles » de vos filtres que celui qui existe entre un moustique et un grillage. Et c’est un fait acquis que les grillages ne sont pas vraiment des moyens de protection efficace contre les moustiques…
Masquoseptique ? Bien sûr ! si les virus se rient des masques, ce n’est pas du tout le cas des microbes, beaucoup plus volumineux, qui y restent prisonniers. C’est donc qu’un masque est une véritable culture microbienne en ébullition, un risque réel pour son porteur inconscient !
Masquoseptique ? Encore oui, puisque pour le moment, l’épidémie est suspendue, et le virus quasiment inoffensif. Voilà la vérité, tout le reste n’est que propagande.
Et si cette situation venait à changer, la preuve est faite, le traitement existe : le combat des braves gens ne devrait pas être de se soumettre complaisamment aux diktats de nos dictateurs, mais de contraindre ces derniers à lever les interdictions stupides qu’ils maintiennent contre tout bon sens, de l’usage raisonné de la chloroquine.
Bon, tant pis si je vous fâche, masquoseptique je suis, masquoseptique j’entends rester, et ne porte ce déguisement ridicule qu’à contrecœur, contraint et forcé par une tyrannie que je trouve chaque jour un peu plus insupportable.
C’est qu’en fait, je le confesse, ma situation est aggravée par le fait qu’en plus d’être masquoseptique, je suis naturellement masquophobe.
En effet, dans un monde de masques, je me trouve projeté en grande solitude : parfaitement sourd à de nombreuses fréquences sonores, et pas si doué que cela pour les autres, je viens de découvrir à quel point j’ai pris l’habitude de lire sur les lèvres ! Dans une conversation, le plus souvent, ma surdité ne se remarque pas (par moi, y compris). En revanche, si vous me parlez masqué, je ne comprends à peu près rien de ce que vous me dites. Horrible !
Et puisque j’en suis à vous confier mes misères physiques, en voici une autre : je suis sujet à des crises d’asthme qui peuvent me laisser à genoux. Je pense que tous les asthmatiques en conviendront avec moi : le masque et l’asthme ne font pas bon ménage. En tout cas pas pour moi. Je ne porte pas le masque depuis trois minutes que je commence à me sentir très inconfortable.
Dans un autre article prémonitoire, à propos du virus que je m’obstine à qualifier de chinois, j’avais d’ailleurs noté : « Confinement : en sortirai–je vivant ? »
Eh bien, pour tout vous dire, dans un monde de masques privé de chloroquine, j’en suis de moins en moins sûr… Et vous, qu’en pensez – vous ?
24 août 2020
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