Nous avons vraiment une classe dirigeante extraordinaire.
Distribuant à tour de milliards des milliards qu’elle ne possède pas et qui d’ailleurs n’existent pas à des gogos chantant à l’unisson « et moi, et moi ! », elle continue de combattre avec une constance qui force l’admiration une pandémie sans morts et/ou une épidémie… sans malades !
Quel tour de force ! Après avoir en moins de deux mois durablement ruiné notre économie en imposant un confinement totalement inutile, on vient nous parler d’un « plan de relance économique » qui ne comporte… aucune économie de quoi que ce soit, précisément !
Mais le sublime, c’est maintenant : pour combattre cette pandémie sans décès et/ou cette épidémie sans malades, on impose le port d’un masque à trous béants quand il s’agit de virus, à tout le monde, presque partout, y compris dans nos campagnes et nos usines, et le plus extraordinaire, c’est que cela marche : tout le monde aux abris, tout le monde masqué, y compris dans nos campagnes et nos usines !
Et la bobocratie de réciter à l’envi le chapelet des inepties : le masque, pour se protéger, le masque pour protéger les autres !
La bobocratie, qui ne manque pas d’air, n’hésite pas à imposer le masque, y compris aux travailleurs manuels, et tant pis pour ces derniers, qui vont bien sûr et très vite manquer d’oxygène. Bien sûr, un bobocrate, le travail manuel, il ne connaît pas. Toujours de gauche, même son ménage, il le fait faire. Je voudrais bien suggérer que pour moi, travailleur manuel, le masque et mon métier, c’est seulement incompatible, mais un travailleur manuel, qui l’écouterait ?
Les travailleurs manuels, ça reste le bas du panier. Les ceux qui ne sont rien. Personne ne les écoute, personne ne les entend.
Personne ne les écoute, personne ne les entend, et donc personne ne sait ce qu’ils pensent entre eux, ce qu’ils se disent entre eux. Pas un bobocrate pour même se douter de cette réalité, dont moi, à ma place, je suis le témoin quotidien : le peuple de ceux qui ne sont rien ne croit plus rien. Absolument plus rien. Il y a longtemps qu’il se le murmure de plus en plus fort sous le manteau : le covid est le plus gros mensonge de tous les temps. Il n’a été (plus ou moins) mortel que dans les pays (dont le nôtre) où la corruption l’emporte sur la plus élémentaire humanité, sur le plus élémentaire bon sens, où donc l’on a fait le choix délibéré des bénéfices potentiels fantastiques d’hypothétiques vaccins plutôt qu’un traitement quasi gratuit pris en tout début de symptômes. Non, il n’y a pas plus de malades, car il n’y a plus de malades ; mais seulement plus de tests dont tout démontre une fiabilité plus qu’incertaine.
Ce qui se dit encore : le masque, imposé maintenant envers et contre tout bon sens n’a d’autre utilité que de maintenir la population dans un état de sujétion proche de l’esclavage. Il faut écouler les stocks, pensent les bobobrates. Ils veulent écouler les stocks se répètent ceux qui ne sont rien, mais qui doivent malgré tout porter leur muselière.
La marmite bout, mais personne ne le sait, personne ne l’écoute, personne de l’entend.
Et pourtant, elle bout.
6 septembre 2020
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